Une pause s'impose ( Nina)

C’était un samedi ensoleillé qui faisait du bien au moral.
Willa avait passait la semaine à entraîner l’équipe de Quidditch de Springfield. Un travail qu’il adorait surtout que l’équipe était géniale. Que des jeunes très motivés et passionnés par ce sport.
Mais la semaine avait été éprouvante.
Hier soir, il avait reçu un hiboux de Nina, une amie à lui, qui lui proposait un petit café aujourd’hui au balais tordu. Il avait immédiatement répondu qu’il était totalement partant.
Il disait toujours oui à Nina.
Cette dernière est élève à l’école d’Ilvermorny. Elle était plus jeune que lui et ne s’étaient pas connus à l’école.

Quand Will était étudiant à Ilvermorny, il ne connaissait personne d’autres à part les gens de l’école. La famille de Nina, des amis à ses parents, l’avait alors régulièrement invité chez eux les week-end. C’est ainsi qu’il avait fait la connaissance de Nina.

Nina, bien que jeune, était extrêmement mature et passer du temps avec elle, était toujours agréable.

A 16h00 Will poussa alors les portes du café pour s’installer à une table en attendant son amie qui ne devrait pas tarder.

J’avais reçu une invitation de Will me proposant un café. Et comment dire non à un café alors que j’y suis littéralement accro. Il me faudrait des perfusions de café je pense.
Comme tous les week-end j’étais rentrée à Springfield chez ma famille. J’adorais passer mes week-ends chez eux.
J’aime bien l’école, mais y dormir 5 nuits par semaine c’est long et je préfère ma chambre.

J’avais rendez-vous au balai tordu à 16h00 . Et comme toujours j’étais en retard. J’étais en train de discuter avec ma mère et je n’avais pas vu le temps passer.
J’avais alors donné une bise à ma mère en m’excusant de devoir partir aussi vite puis j’ai enfilé un gilet, j’ai pris mon sac à main, et je me suis dirigée à toute hâte vers le café.

J’aurai pu prendre un taxis balais mais le café n’était pas aussi loin que ça à pied. Alors même si j’étais en retard, je préférais marcher que de jouer la feignante en m’y rendant par les airs.
Une quinzaine de minutes plus tard, essoufflée par ma marche rapide, j’ai poussé les portes du balais tordu.

Un rapide coup d’œil dans la pièce et j’ai de suite vu Will assis à une table. Je me suis précipitée vers lui.

- Wil… je suis vraiment désolée. J’ai pas vu l’heure. Je discutais avec ma mère.

Encore essoufflée, j’ai poussé la chaise et je me suis assise devant lui.

- Pour me faire pardonner, c’est moi qui invite.

J’étais alors en train de faire signe au serveur pour qu’il vienne à notre table.
Je me suis alors tournée vers Will avec un sourire.

- Tu veux boire quoi ?